Avec les années, le clitoris se fraye un chemin dans l’espace public et dans nos têtes, et aussi dans les manuels scolaires, les ouvrages médicaux ou sur les réseaux sociaux. Le bouton d’amour, comme certains aiment le surnommer, n’est pas qu’un simple bouton : il est enfin représenté dans sa taille réelle et avec sa forme correcte. Devenu outil politique pour les militantes féministes, le clitoris s’avère être une précieuse arme de réappropriation du corps et de la sexualité des femmes.
L’injonction au dépistage et la culpabilisation des femmes qui n’y ont pas recours ne s’accompagnent d’aucune information diffusée sur les résultats des dernières études menées depuis les années 2000.
Maladie encore bien méconnue du grand public, l’endométriose engendre des conséquences psychologiques et physiques et impacte toutes les sphères de la vie d’une femme. Cette analyse tend à nous faire découvrir le quotidien douloureux et pesant des « endogirls » en abordant la problématique du diagnostic éprouvant et du vécu affectif, émotionnel, sexuel et physique difficile.
Les conséquences d’un endomètre à la mauvaise place
La prolongation de la durée d’exploitation des réacteurs au-delà de leur durée prévue, la multiplication des pannes et des micro fissures détectées, augmentent le risque d’une catastrophe majeure en Belgique. Au-delà des risques immédiats, la planète se dirige vers un épuisement des ressources et vers la fin du pétrole bon marché, et ces ressources risquent de manquer pour le démantèlement, à terme, des centrales.
Le danger du nucléaire : un déni collectif ?
Au cœur des enjeux : les déchets nucléaires. Enfouir les déchets, c’est aussi enfouir la mémoire. Ceux-ci résisteront au temps et resteront dangereux pour notre santé et notre environnement pendant 100.000 ans ! Certaines luttes citoyennes s’essoufflent, les pratiques féministes peuvent sans doute renouveler la résistance, en cela qu’elles interpellent les logiques internes d’oppression.
La lutte anti-nucléaire : tout un programme !
Face à l’arrivée massive de migrant.e.s en Europe pour laquelle les réponses politiques manquent cruellement, des citoyennes principalement font preuve de solidarité et s’engagent à héberger les migrant.e.s, de manière régulière ou ponctuelle. Pourquoi les femmes sont-elles moteur de ce nouvel engagement ?
La crainte d’un recul de l’accès à l’IVG en Belgique limite le débat aux dangers qui planent sur les acquis en la matière. Qu’en est-il du vécu des femmes ? Comment perçoivent-elles les soins pré et post IVG ? Que faire des expériences difficiles ? La prise en charge est-elle pleinement cohérente avec une démarche émancipatrice ? Comment penser une amélioration des conditions dans lesquelles se déroulent les IVG ? Quelles démarches sont à renforcer pour centrer leur déroulement autour des besoins des femmes ?
Pouvoir se réapproprier son corps à travers une série de pratiques passe également par la nécessité de se réapproprier des savoirs en interrogeant leur élaboration.
Les savoirs ne viennent pas de nulle part
Ce qu’on appelle un métier traditionnellement masculin ou féminin, c’est un métier où il y a moins de 33% de l’autre genre représenté, donc en pénurie.